Je vous fais un lot ?
Oui, je sais, c'est facile pour moi. Comme quand je fête mes vingt ans (oui, je persiste et signe, j'ai toujours vingt ans) avec Domi et Isa, nées le même jour que moi.
Donc, je vous fais un lot.
Mais comme je ne connais pas l'heure de la naissance de chacune-chacun, je vais le faire au feeling.
Alors, en premier, bon anniversaire Amélie. Particulièrement en ces moments si délicieux bien que tellement fatiguants, sans doute. Vous savez ce que vous m'avez apporté depuis si longtemps que vous avez fait le premier pas en ma direction. Que de moments doux passés tous les deux, j'ai l'impression que nous étions prédestinés tous les deux. Vous mon exact double féminin, moi l'épaule que vous cherchiez... Je nous trouve beaux tous les deux ensemble, j'en frissonne, tiens. Il me tarde de voir en vrai la petite ;0) Et comme Big n'est même pas jaloux (enfin pas trop), je peux vous dire que je vous aime tendrement.
Pour vous, mon Chou ;0)
En deuxième, toujours honneur aux femmes, bon anniversaire Chriss. Combien de temps passés ensemble, sur MSN, en vrai même... Si facile, tellement on a des souvenirs communs, même si on ne les a jamais vécus ensemble, l'Allemagne, Paris, l'Est de la France, la musique, les combats politiques... Tellement que j'ai l'impression que Bill est mon pote d'enfance. Et les crises de fou-rire, les "Ca sonne !", les photos prises au retardateur... D'y penser, j'en ris encore. Longue vie à toi, Zoizo des Iles, et continue à nous faire rêver avec ton exotisme qui n'est pas de pacotille.
Pour toi, ma doudou ;0)
Et pour finir, en bon galant que tu es, après les filles, bon anniversaire, Arnaud, mon frère ! Bon, on va essayer de ne pas penser à celui qui a toujours été associé à ce jour, le Prince Charles, bien qu'il ne soit pas né le même jour. Mais la même année ? Je m'interroge...
Bon, que te dire, maintenant que je sais que tu me lis...
Il y a une phrase que j'ai toujours gardé en tête, tellement elle m'avait surprise à l'époque, et surtout fait grandir d'un coup. Nous étions dans mon atelier de lutherie, Rue de la Vieille Intendance à Montpellier. Tu regardais autour de toi, les violons, les violoncelles, les outils, et tu as dit : "Je t'envie, je trouve que tu as bien réussi ta vie, moi, j'ai suivi les traces qu'on m'avait fixées, et j'aurais aimé avoir le courage de faire ce que tu as fait".
Et moi qui avait passé ma jeunesse, mon adolescence à essayer de t'imiter, la guitare, Brassens... je me trouvais ballot à l'idée que tu puisses aussi m'admirer. En fait, c'était dans l'ordre des choses, mais à cet âge-là, j'étais sans doute un peu niais.
Et pour te prouver que notre grand Georges est intemporel, voilà pour toi...
Bon, vous pouvez éteindre votre PC et reprendre une vie normale !